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Pierre Soulages
Peindre avec le noir c’est le moyen le plus véhément de faire naître une lumière, une lumière mais picturale, c’est à dire émanant de la toile, modulée par la nature et la qualité des contrastes qui l’ont fait naître. Le noir est une couleur de lumière.
L’artiste peintre français Pierre Soulages est né à Rodez le 24 Décembre 1919. Très jeune, Pierre Soulages est attiré par les monuments romans, les dolmens et les menhirs gravés. A 18 ans, il se rend à Paris pour préparer le concours d’entrée à l’École Nationale supérieure des Beaux-Arts. Il y est admis mais, persuadé qu’elle dispense un enseignement médiocre, refuse d’y entrer et repart aussitôt pour Rodez. Pendant ce séjour à Paris Pierre Soulages découvre la peinture moderne en visitant le musée du Louvre et les expositions de Cézanne et de Picasso. Paris occupé, Pierre Soulages se rend à Montpellier et fréquente assidûment le musée Fabre. Montpellier à son tour occupé, commence pour lui une période de clandestinité pendant laquelle il ne peint plus. Ce n’est qu’en 1946 que Soulages peut consacrer tout son temps à la peinture. Il s’installe alors dans la banlieue parisienne. Ses toiles où le noir domine sont abstraites et sombres. En 1948, il participe à des expositions à Paris et en Europe, notamment à “Französische abstrakte Malerei”. En 1949 la galerie Lydia Conti de Paris lui organise une exposition personnelle. En 1979 Pierre Soulages expose au Centre Georges Pompidou ses premières peintures monopigmentaires, fondées sur la réflexion de la lumière par les états de surface du noir. Ce sont les recherches effectuées par Soulages sur la matière, sur la couleur et la lumière qui font de lui l’un des artistes contemporains ayant le plus apporté à la peinture du XXe siècle.
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La femme, l’amour, la mort
25,00 € TTCL’HISTOIRE
Le livre souhaite attirer l’attention sur ces trois valeurs fondamentales de notre existence…
Le récit et sa construction font penser parfois à une parabole… C’est aussi un voyage poétique qui décrit le chassé-croisé de trois femmes au destin très singulier et qui se confondent dans l’amour qu’elles inspirent au héros.LE STYLE
Il utilise souvent des symboles et la métaphore pour toucher plus directement la sensibilité des lecteurs.LES FAITS
Il existe des « vies » auxquelles on ne prête pas assez d’attention et dont on préfère parfois ignorer l’existence.
Les autres espèces vivant sur terre à côté des humains, seraient-elles donc inférieures à eux?
Que ressent vraiment le lecteur en explorant ce monde, puisqu’il ne l’observe pas toujours ou si peu ?
Les animaux ? Il les domestique parfois pour les attacher à son service ou il les mène à la mort pour sa consommation !
Comprend-il la diversité de leur mode de vie, de leur comportement ? Les végétaux ? Peut-il seulement imaginer qu’ils peuvent communiquer entre eux ?
Combien d’espèces dans les forêts, par leur entrelacement, donnent la preuve d’une attraction évidente à laquelle nous ne comprenons que peu de choses, si nous ne sommes pas des forestiers ?
Quelles questions viennent à l’esprit de l’homme quand il est en présence d’un arbre immense, vieux de plusieurs siècles ?
Peut-il imaginer un instant tout ce dont celui-ci a été témoin depuis qu’il a commencé à grandir ? Et quelle a été sa vie et pourquoi aucun tronc ne ressemble jamais à un autre ?LE FOND
Le livre voudrait être un éveil (pourquoi pas un réveil) au «vivant». Il voudrait aussi rappeler que vie et mort sont étroitement liées. C’est presque une « lapalissade » d’exprimer que sans l’une, l’autre n’existe pas.
Le livre explique qu’il est possible, une fois mort ou presque, que l’on puisse revenir à la vie, sans être tout à fait le même.
Que se passe-t-il à ce moment-là ? Que découvre-t-on pendant cette absence définitive ou temporaire : notre destinée ou une autre que l’on pourrait accomplir plus tard ou que l’on aurait pu vivre auparavant ? Mais quand y pensons-nous ? Quelles preuves en avons-nous ? La physique quantique nous a proposé une piste et a révélé certains indices que nous commençons à découvrir vraiment. Comment et pourquoi cette transformation s’exécute-t-elle ? Et avec quelle « énergie » ? Les théories abondent… L’amour semblerait être la meilleure piste, … et pourrait même aboutir à transmuter la haine en amour. (C’est la fin du livre !)
Et nous, que faisons nous de cette hypothèse dans ce monde où l’on n’ose pas observer ou écouter la plupart des signes imperceptibles dans « notre dimension » et qui pourtant existent en nous et à côté de nous.
Comment expliquer qu’il existe un lien suprême entre la Femme, l’Amour et… la Mort ?



