Romans Littérature

  • LE NEZ DANS LE SOLEIL

    2 livres en un seul

    Désespéré et désireux de mettre fin à sa vie, Pépé traine les pattes sur les rives d’un bisse* lorsqu’il s’étale de tout son long et fourre le
    nez dans un pissenlit. Ébahi, il reste longtemps à contempler cette fleur radieuse aux mille pétales qui lui renvoie dans les yeux toute la
    lumière du monde.
    Lorsqu’il se relève, Pépé se sent investi d’une mission botanique qu’il va poursuivre avec passion et obstination. Plus question
    pour lui de voir les pissenlits par la racine avant l’heure.

    25,00  TTC
  • L’OREILLE AVEUGLE

    2 livres en un seul

    Ce récit est inspiré par la vie d’un jeune homme sourd-muet, autiste, et condamné à devenir aveugle, qui a choisi une voie inattendue pour affronter la cruauté du sort.
    Refusant la rassurante quiétude du système psychosocial qui veut lui retirer la responsabilité de sa vie, il décide
    de partir en voyage et d’affronter tout seul les vicissitudes du vaste monde.
    Conservant soigneusement les odeurs, les ambiances et les impressions recueillies lors de ses pérégrinations, il constituera une formidable galerie intérieure où son esprit pourra déambuler lorsque ses liens avec le monde extérieur seront à jamais coupés.

    25,00  TTC
  • ANIMALIA

    La lecture de « brave new world » et « 1984 » vous a procuré des angoisses ?
    Avec « Animalia », vous allez rire jaune à en mourir. Cette « cacatopie » semble être l’œuvre d’un La Fontaine ayant abusé d’hallucinogènes ou d’un Ésope en plein délire psychédélique. Le résultat est plus décapant, déjanté et délirant que « la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et d’un parapluie » (Lautréamont). Bref, c’est du jamais lu ! En ouvrant les pages de ce texte inclassable, vous saurez comment les suceurs d’âme du mont Kibo (Klaus Schwab et le WEF) tentent de transformer la jungle en jardin des délices artificiels, l’ordre naturel en chaos organisé et la relativité en absolu. Leur « grande recette » cherchant à imposer à l’humanité le meilleur des mondes impossibles aura-t-elle raison de l’espoir ? La terre est-elle irrémédiablement condamnée à devenir trop parfaite pour être viable ?

    25,00  TTC
  • À BOUCHE QUE VEUX-TU

    « Je n’aime pas l’os à moelle comme une nourriture corporelle, gustative, mais comme une lecture délicieuse. Je suis un mangeur littéraire de l’os à moelle. Je lis l’os à moelle. Et c’est avec impatience que j’attends la découverte d’un autre grand texte qui me donnerait l’envie de goûter aux tripes, de manger de la panse de brebis, de devenir accroc du mou de bœuf, friand du pied de cochon, de me délecter des amourettes de taureau et des yeux d’agneau. »
    Le Talmud dit que manger seul réduit l’homme à l’état végétal, animal, raconter, en mangeant, des blagues, des histoires, discuter nous
    élèvent au niveau humain. Les souvenirs liés à la nourriture, à ce que nous avons mangé, avec qui, quand et où nous constituent au même
    degré que ce que nous avons lu, vu ou fait. Tous les récits de repas, bons, mauvais, délicieux, sont des récits de vie. Dans À bouche que
    veux-tu, Biro raconte des histoires de nourritures-boissons. Et l’auteur trouve un deuxième intérêt, un deuxième plaisir dans ces histoires :
    les écrire, les raconter. Espérons qu’il en sera de même pour le lecteur.

    14,00  TTC
  • LA BEAUTÉ, POUR QUOI FAIRE ?

    La beauté nous obsède. Elle est à la une des magazines, elle parcourt les rues de nos cités. Les passantes ne se l’imaginent pas toujours, mais elles nous foudroient parfois en silence, d’un froissement d’étoffe, d’un battement de cils, d’un mouvement de tête.

    La beauté des femmes est irrésistible. À quoi sert-elle ? À nous ensorceler par surprise ? Nous, les hommes, si sensibles à ses sortilèges, qu’on en perd souvent nos moyens, notre latin et parfois notre fortune. C’est peut-être ça le but de la beauté; épuiser les hommes, provoquer leur perte, pour en finir avec leur désir qu’elle ne cesse pourtant d’attiser. La beauté, cette “ruse biologique” est d’abord au service de l’espèce. Elle a pour vocation, sans parfois le savoir, de perpétuer l’humanité. Le but n’est pas l’homme mais l’enfant. Mais que de tortures, que de sacrifices ! Les femmes sont prêtes à tout endurer pour parvenir à leur fin. Tel est le propos de ce méchant petit livre à la lucidité réjouissante et tonique.

    12,00  TTC
  • C’EST AU FOND DE L’ABÎME QUE NAÎT L’ESPOIR

    23 août 2003, Île de Ré, la mer est calme, le soleil haut et le ciel bleu azur. Matthieu Lerdu plonge depuis le bateau d’un de ses amis. Sa tête heurte un banc de sable. Il est tétraplégique.
    Entre la colère et le désespoir, mais très entouré par sa famille et ses amis, sa vie s’organise. Le corps médical ne lui laisse pas d’espoir et pourtant Matthieu s’accroche avec acharnement. Un jour, il remarchera, il le veut de toutes ses forces.
    Alors il part à la bataille et découvre peu à peu d’autres compétences, celles des magnétiseurs, celles des passeurs d’énergie et de vie qui, chacun dans leur domaine, vont l’accompagner dans sa volonté de remarcher. La découverte de la spiritualité lui a permis d’accéder à une autre vision de la vie.
    Aujourd’hui Matthieu ne marche toujours pas mais il a retrouvé de nombreux mouvements. Il n’abandonne pas. Un jour il remarchera sans aide car là est sa certitude.
    Ce récit de vie émouvant, à la fois grave et léger, drôle parfois, est une véritable leçon de résilience. Matthieu est un homme de la terre, pragmatique et cartésien mais désormais ouvert à la spiritualité. Nul doute que son parcours ne serait pas identique
    si il n’avait eu cette épreuve à affronter…

    22,00  TTC
  • NICOLAS DE STAËL

    « Je t’embrasse de tout coeur, toi, Paris, toute la ville et ton pays tout entier. Je vous aime plus profondément, plus désespérément que je ne vous ai jamais aimés » écrivait
    Nicolas de Staël à son ami René Char en 1953, un an avant de se jeter dans le vide.
    Né à Saint-Pétersbourg en 1914, Nicolas de Staël von Holstein a cinq ans lorsque sa famille fuit la Russie pour se réfugier en Pologne. Après la mort de leurs parents, Nicolas et ses soeurs sont accueillis par des amis en Belgique. Après des études aux Beaux-Arts de Bruxelles, il voyage en Espagne, au Maroc, en Italie où il se nourrit du spectacle de la nature, de la lumière et de leurs contrastes.
    En 1943, il s’installe définitivement en France et se lance dans l’aventure de l’abstraction avec l’intuition que “sa vie [sera] un continuel voyage sur une mer incertaine”.
    Pinceau des mots à la main, au plus près de son sujet, Karin Müller raconte à la première personne le destin fulgurant de ce peintre intransigeant et généreux, ami des surréalistes, de Kandinsky, Braque, Lanskoy, Magnelli, Sonia Delaunay et bien d’autres, que le succès et la reconnaissance tardive n’empêcheront pas de mettre fin à ses jours à l’âge de 41 ans.
    Un texte magistral à la hauteur du génie de Nicolas de Staël.
    Le peintre foudroyé laisse plus de mille tableaux peints dans l’urgence des malheurs, privations, souffrances et bonheurs traversés.
    12,00  TTC
  • LES IGUANES DE GUANTANAMO

    En 2002, Camille est une brillante avocate d’affaire franco- américaine, vivant à Los Angeles. Lorsqu’elle reçoit un coup de fil la chargeant de s’occuper du cas d’un détenu de Guantanamo, elle croit à une erreur. Pourtant, ce n’en est pas une.

    Le prisonnier, Jamal, et elle sont liés par un passé intense et mouvementé qui a autrefois façonné sa jeunesse, lorsque tous deux vivaient en France.
    Elle va donc accepter, contre l’avis de tous, de risquer sa carrière, sinon sa propre liberté, pour se frotter aux méandres de Guantanamo, cet enfer où les prisonniers ont moins de droits que les iguanes qui abondent sur l’île.

    22,00  TTC
  • SIMONE DE BEAUVOIR

    « Jamais je ne vivrai la vie ordinaire et monotone de ma mère. Jamais je n’accepterai ce destin de femme soumise à un homme. J’aurai un travail et je gagnerai ma vie. »

    Écrire une biographie de Simone de Beauvoir à la première personne, évoquer sa vie quand elle n’a cessé de se raconter dans ses romans, essais ou autobiographies, il fallait oser.

    Karin Müller relève aisément le défi et provoque une véritable rencontre entre le lecteur, la femme et l’œuvre. Née à Paris dans une famille bourgeoise désargentée, Simone de Beauvoir est reçue deuxième à l’agrégation de philosophie derrière Jean-Paul Sartre, son futur compa- gnon. Elle refusera le modèle imposé aux femmes : se marier et élever les enfants. Leur couple rebelle, audacieux, est toujours mythique aujourd’hui. La vie de cette romancière, mémorialiste et philosophe, est racontée de sa naissance en 1908 à sa mort en 1986. À force de travail et de détermination, cette féministe est devenue un symbole de courage et d’émancipation.

    Paul Nizan, Merleau-Ponty, Boris Vian, Albert Camus, Giacometti, Juliette Gréco, Gisèle Halimi croiseront sa route. L’amitié est essentielle, tout comme l’amour : Jean-Paul Sartre, Nelson Algren, Claude Lanzmann la chériront.

    Son chemin, parsemé d’embûches, sera sa quête de la liberté. « Femmes, vous lui devez tout ! » dira Elisabeth Badinter lors de ses obsèques.

    Sur scène, ce texte est magistralement interprété par Marie Christine Barrault.

    12,00  TTC
  • LA DISPARUE DU FLORE

    Un riche financier se fait dérober, par sa propre fille de 16 ans, 30 millions d’euros en billets de banque destinés à blanchir la fausse monnaie de la mafia napolitaine…

    Un écrivain en panne d’inspiration décide d’aider un vieil ami, adepte du bondage, à se débarrasser du cadavre d’une japonaise qui a succombé à du sexe extrême…

    Une aristocrate de haut vol s’éprend d’un styliste américain en vogue au bord de la faillite, qui compte sur elle pour le renflouer, ce que bien sûr elle ignore…

    Tous ces personnages voient leurs trajectoires se croiser, leurs destins s’entrelacer, et malgré leurs moyens, et leur intelligence, ils ne parviennent pas à maîtriser des aventures qui les entraînent malgré eux dans le torrent de la vie. La disparue du Flore consti- tue la première partie d’une saga qui va se déployer sur plusieurs épisodes et vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page. Addiction garantie !

    22,00  TTC
  • Les temps confondus

    Je me demande aujourd’hui si vivre l’instant présent, ce n’est pas faire converger futur et passé, vers une immobilité tout sauf statique. Parce qu’alors une vie intense d’actes sans actions, lucide et détachée.
    Ce livre est le récit d’une partie de ma vie, à l’évidence bercée d’illusions. Bernée d’illusions me conviendrait mieux.

    De prime abord décalés, ces propos émanent de celui qui raconte, et résultent après un effroyable choc, du recul qu’il est conduit à prendre. S’il se présente comme un gigolo, c’est l’authenticité de sa légèreté qui pareillement interpelle, chez ce genevois de bonne famille. À travers une décontraction incarnée à la perfection, une façade de facilité tout en charme et qui séduit d’emblée, le traumatisme fera ressortir failles et blessures. Un quasi-séisme pour une clairvoyance en éveil, pour une contemplation qui émerge, dans un temps qui lui se perd et s’absente.

    17,00  TTC
  • ARCHIVES DE L’EFFROI

    UNE HISTOIRE FRANÇAISE

    Après la découverte d’anciennes photos de famille oubliées depuis longtemps, l’auteur reconstitue entre fiction et évènements réels une histoire familiale marquée par la première guerre mondiale.
    À travers cette reconstruction généalogique, l’auteur entreprend la traversée d’un siècle marqué par deux conflits mondiaux…

    Il interroge ceux qui l’ont précédé avec une question centrale : quelle mémoire ont-ils porté tout au long de leur vie et qu’en ont-ils transmis ? À quels souvenirs sommes-nous liés ? Et quand nous oublions, qu’est-ce qui s’oublie en nous ?

    23,00  TTC
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