Jean DEVALEYRES

Né au Havre Jean Devaleyres sera d’abord élève à Sainte-Croix de Neuilly avant de choisir de poursuivre des études littéraires…

Après avoir quitté la Sorbonne l’auteur entrera dans la vie active en entamant un parcours professionnel orienté vers un secteur d’activités commerciales et de projets marketing, se dirigeant plus précisément vers l’univers de la publicité.
Il sera notamment en charge de budgets concernant le monde de l’automobile au sein de Publicis Activités.

Son expérience dans ce domaine le conduira quelques années plus tard à créer sa propre agence, spécialisée dans l’imagerie d’art, première agence parisienne à intégrer un studio d’exécution.

Parallèlement à sa carrière professionnelle il continuera de développer sa passion pour la littérature, le cinéma et les arts plastiques…

Et l’auteur ne cessera jamais d’écrire jusqu’à aujourd’hui où son premier roman est publié.

À travers ce récit à rebondissements qui s’adresse à l’imaginaire du lecteur, Jean Devaleyres nous entraîne avec brio dans un voyage poétique où la nature omniprésente accompagne merveilleusement le chassé-croisé de trois femmes au destin singulier. Elles sont réunies par l’amour qu’elles inspirent au héros qui, au terme de sa traversée romanesque et initiatique, nous fait partager son expérience de mort imminente qui lui révèle la (vraie) lumière de son existence.

Une écriture foisonnante, originale et sensible caractérise ce conte atypique qui séduira le lecteur invité par l’auteur à partager cet itinéraire étrange et insolite…

Jean Devaleyres signe avec cet ouvrage son premier roman.

  • La femme, l’amour, la mort

    L’HISTOIRE

    Le livre souhaite attirer l’attention sur ces trois valeurs fondamentales de notre existence…
    Le récit et sa construction font penser parfois à une parabole… C’est aussi un voyage poétique qui décrit le chassé-croisé de trois femmes au destin très singulier et qui se confondent dans l’amour qu’elles inspirent au héros.

    LE STYLE
    Il utilise souvent des symboles et la métaphore pour toucher plus directement la sensibilité des lecteurs.

    LES FAITS
    Il existe des « vies » auxquelles on ne prête pas assez d’attention et dont on préfère parfois ignorer l’existence.
    Les autres espèces vivant sur terre à côté des humains, seraient-elles donc inférieures à eux?
    Que ressent vraiment le lecteur en explorant ce monde, puisqu’il ne l’observe pas toujours ou si peu ?
    Les animaux ? Il les domestique parfois pour les attacher à son service ou il les mène à la mort pour sa consommation !
    Comprend-il la diversité de leur mode de vie, de leur comportement ? Les végétaux ? Peut-il seulement imaginer qu’ils peuvent communiquer entre eux ?
    Combien d’espèces dans les forêts, par leur entrelacement, donnent la preuve d’une attraction évidente à laquelle nous ne comprenons que peu de choses, si nous ne sommes pas des forestiers ?
    Quelles questions viennent à l’esprit de l’homme quand il est en présence d’un arbre immense, vieux de plusieurs siècles ?
    Peut-il imaginer un instant tout ce dont celui-ci a été témoin depuis qu’il a commencé à grandir ? Et quelle a été sa vie et pourquoi aucun tronc ne ressemble jamais à un autre ?

    LE FOND

    Le livre voudrait être un éveil (pourquoi pas un réveil) au «vivant». Il voudrait aussi rappeler que vie et mort sont étroitement liées. C’est presque une « lapalissade » d’exprimer que sans l’une, l’autre n’existe pas.
    Le livre explique qu’il est possible, une fois mort ou presque, que l’on puisse revenir à la vie, sans être tout à fait le même.
    Que se passe-t-il à ce moment-là ? Que découvre-t-on pendant cette absence définitive ou temporaire : notre destinée ou une autre que l’on pourrait accomplir plus tard ou que l’on aurait pu vivre auparavant ? Mais quand y pensons-nous ? Quelles preuves en avons-nous ? La physique quantique nous a proposé une piste et a révélé certains indices que nous commençons à découvrir vraiment. Comment et pourquoi cette transformation s’exécute-t-elle ? Et avec quelle « énergie » ? Les théories abondent… L’amour semblerait être la meilleure piste, … et pourrait même aboutir à transmuter la haine en amour. (C’est la fin du livre !)
    Et nous, que faisons nous de cette hypothèse dans ce monde où l’on n’ose pas observer ou écouter la plupart des signes imperceptibles dans « notre dimension » et qui pourtant existent en nous et à côté de nous.
    Comment expliquer qu’il existe un lien suprême entre la Femme, l’Amour et… la Mort ?

    23,70  TTC